Sire Tanneguy du Chastel

Chevalier, Chambellan de notre bon roi Charles VI et Prévôt de Paris, maréchal et gouverneur de la Bastille.

Pour venger son Frère aîné Guillaume II du Chastel qui avait été tué devant l’île de Jersey, il mène une expédition contre Dartmouth en Angleterre dont il revint riche et auréolé de gloire.

En charge de la ville de Paris, il chasse les Bourguignons de Chevreuse.

Alors que ses frères d’armes s’effondraient les uns après les autres à la bataille d’Azincourt, il revint intact sans une seule cicatrice, ayant abreuvé son épée du sang des lâches, sanctifiant ainsi la terre d’Azincourt.

Par deux fois il sauve le Dauphin Charles d’une mort inévitable : une première fois lors de l’émeute des Cabochiens, et une deuxième quand, à l’aide d’Ambroise de Loré, il fait sortir notre cher Dauphin de la ville de Paris sous les yeux des partisans du duc de Bourgogne impuissants.

Enfin, chef du parti des Armagnacs aux côtés de Bernard d’Armagnac et contre les Bourguignons, il négocie et fait ratifier au nom du Dauphin la paix du Ponceau

Sire Albéric de Trians

Cousin Germain d’Anne de Trians vicomtesse de Tallard, il fut reconnu par la maison de la vicomtesse pour bravoure. Ayant porté haut la toute-puissance de notre Seigneur Jésus-Christ face au mécréant.

Il a sauvé la vicomtesse de Trians des mains d’un Sarazin sournois qui s’était infiltré dans ses terres. « Au prix d’une cicatrice outrageante », sa virilité exacerbée coûta la vie à 4 chevaliers félons qui accompagnaient l’impie.

Au sac de Tiffauges, aux côtés de son compagnon d’armes, le très respectable Sire Raymond de Cascastel, il fit s’enfuir l’ennemi de sa hache noble inébranlable, héritant ainsi du surnom de « l’impitoyable ».

Finaliste du 1er jour

Sire Astorg de Peyre

Chevalier, baron de Peyre, baron de Beaumes, seigneur de Thoras, de Caromb, de Bédoin et de Loriol, en avant-garde du connétable Olivier de Clisson, lors du passage de l'ost royal sur la Lys, parmi les premiers à traverser la rivière, il se dressa telle un colosse intrépide, tenant le gué avec une bravoure inébranlable, osant affronter le péril de sa vie pour ouvrir la voie au reste de l'ost, faisant ainsi face aux Flamens avec une résolution qui ébranla les cieux.

Lors des combats acharnés aux confins de l'Aquitaine, près du noble bourg de Puynormand, il décrocha victoire après victoire, menant des escarmouches vaillantes et délivrant des charges intrépides qui occirent nombre de ses ennemis.

À l'issue de la bataille de Roosebeke, il fut celui qui, d'un geste préçis, chassa le faisant ripaillé par le roi au soir même.

Sire Carlo Maria Madrigali

Chevalier, 3e fils d’une noble famille de Navarre. Chevalier errant, depuis Page au service de nombreux seigneurs, a combattu des terres Baltiques aux rivages ensoleillés des terres du Sud.

Fier croisé de Madhia, Capitaine au service de Brescia, à présent pour la fière cité de Lucca.

Infatiguable Capitaine, il vole de tournoi en tournoi, croisant le fer avec les plus valeureux, ravissant la victoire au tournoi du Cygne Blanc du noble et très puissant Comte de Santorso.

Chevalier de l’ordre « Ritter von Abendrot » et de l’ordre équestre du St Sépulchre de Jérusalem.

Dit « Le Bélier » : 

• Quiconque m’affronte, me craint

• Quiconque me craint, me fuit

• Quiconque me fuit péri

• Quiconque péri tombe dans l’oubli

Sire Frédéric d'Aragon

Chevalier, cousin du Roi Ferdinand D’Aragon, il remporte de haute vaillance le tournoi de Carcassonne.

Alors en lice au Château Lagarde, seul contre trois autres chevaliers écumant de rage, il fit montre d’une bravoure sans faille, ravissant la victoire et le cœur des nobles dames.

Il est l’un des rares chevaliers à avoir resisté à une passe d’arme face à notre très noble et très viril Baron de Canilhac